4 056
modifications
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
Radio-théâtre - Adaptation sous forme d'extrait de théâtre d'une ancienne nouvelle écrite il y a longtemps. | Radio-théâtre - Adaptation sous forme d'extrait de théâtre d'une ancienne nouvelle écrite il y a longtemps. | ||
Proposition de [[No-Face]], co-écriture avec [[Gracine]] | Proposition de [[No-Face]], co-écriture avec [[Gracine]] | ||
== Synopsis == | == Synopsis == | ||
Ce récit pourrait | Ce récit pourrait être une transposition d'un conte pour enfant, celui du Roi pas de culotte et de son linge invisible. Un caïd (le roi de tous les manouches?) tellement imbu de lui-même, ne perçoit pas tout le ridicule dont il s'entoure. Jusqu'au jour où l'un de ses sbires manquant à l'appel, le roi soit frappé, c'est le cas de le dire, d'évidence. | ||
== Personnages == | == Personnages == | ||
[[À noter: la plupart des personnages sont masculins. Peut-on dès à présent tâcher d'en féminiser quelques uns.]] | |||
[[Florin]]: le roi des tziganes (manouches?) | [[Florin]]: le roi des tziganes (manouches?) | ||
Tompson : | [[Tompson]] : | ||
[[Ashton]] : | |||
[[Mustang]] (absent) : | |||
Clients (figurants) : [[Lewis]] et sa compagne [[Marie]], un couple vendeur en masque à gaz| [[Lust]], 17 ans, prostituée | [[Barmaid]] | |||
== TEXTE == | |||
Dans un | |||
Le temps était brumeux dehors. Tellement brumeux que l'on n'y voyait pas ses propres pieds. C'est donc avec misère que je parvins finalement à entrer dans notre cher repaire: un bar en sous-sol situé dans une région malfamée de la ville, loin des hommes d'affaires en complet sombre, malette en main, loin des grands magasins où les femmes de notables dépensaient de faramineuses sommes pour chopper le parfum à la mode. Ce style d'endroit où ces même citadins auraient probablement hurlé au monstre, à l'assassin, au suicide si par malheur ils y déposaient un pied. Enfin, je divague. | Le temps était brumeux dehors. Tellement brumeux que l'on n'y voyait pas ses propres pieds. C'est donc avec misère que je parvins finalement à entrer dans notre cher repaire: un bar en sous-sol situé dans une région malfamée de la ville, loin des hommes d'affaires en complet sombre, malette en main, loin des grands magasins où les femmes de notables dépensaient de faramineuses sommes pour chopper le parfum à la mode. Ce style d'endroit où ces même citadins auraient probablement hurlé au monstre, à l'assassin, au suicide si par malheur ils y déposaient un pied. Enfin, je divague. | ||