Maisonnée sous pression

  1. Gendre hargneux, 40 ans, asperger pas élevé,enfant de la DPJ (carences affectives +++), présente des traits du pervers narcissique (contrôle la maison, violente psychologiquement femmes, enfants et belle-mère en faisant régner un régime de tensions, de méfiances, paranoïa, de dénigrement et d'accusations mensongères).
  2. Fille schizo passive (35 ans), TPL, en amour avec son conjoint-bourreau, considère qu'il est la meilleure chose qu'il lui soit arrivé dans la vie et que leurs engueulades un peu intenses sont acceptables; qu'il faut savoir encaisser;
  3. 2 enfants (2 ans, 5 ans) qui vivent dans la crainte des éclats du père; grandissent sans faire de bruit (ou, après accumulation, dans des explosions d'énergies hystériques); l'ainée développe depuis l'automne des troubles du comportement;
  4. Belle-mère (64 ans), propriétaire-locateur du 30, rue Guy, St-Gabriel-de-Brandon: maison en rénovation, loue le rez-de-chaussée et habite au sous-sol, entend tout, enfermée de peur chez elle, sans contact avec fille et petits-enfants, sans accès rez-de-chaussée et jardin; depuis 1 an, elle est le témoin impuissant de tous les sévices psychologiques de fille et petits-enfants; subit des sévices elle-même (agressions verbales, intimidation, menaces, accusations, calomnies);

Bail avec Noémi Desdmarais et Jean-François Lévesque

  1. Emménagement du couple: à mon invitation, au printemps 2019, le couple a emménagé avec la permission de construire dans la cour une serre hydroponique pour usage domestique. Sur la base de nos discussions verbales, un bail a été préparé à 650$/mois (1er mai 2019 à 20 juin 2020) + 150$/mois en acompte sur électricité (ajustement annuel selon consommation réelle). L'usage de la cour y était mentionné en partage avec la propriétaire qui a la responsabilité de l'entretien paysager et projette d'y aménager un jardin-potager elle-même pour usage personnel; M. refuse de signer le bail, prétextant qu'il n'avait jamais été question de payer l'électricité, que selon lui, c'était un tout inclus à 650$ sinon il n'aurait pas déménagé; après discussion, on s'accorde pour un acompte mensuel de 100$ et de réévaluer la somme après la révisions annuelle; malgré ces accords, le couple n'a jamais remis la copie signée du bail à la locateure. Le couple s'est acquitté entièrement de ces sommes de mai 2019 à juin 2020;
  2. rénovations - Maison à logements : à cette invitation de venir rester en campagne et d'avoir la possibilité d'installer la serre hydroponique, il y avait aussi une proposition de travail faite à JF pour réaliser les travaux de rénovations pour transformer le 30, rue Guy en maison intergénérationelle, avec 2 unités de logement complètement séparées (boîte électrique et chauffe-eau). Or, rapidement il est apparu que cette maison ne correspondait pas aux normes pour la convertir de tellefaçon; De plus, début juin 2019, la discorde était telle que la propriétaire a avisé son gendre qu'il ne toucherait plus à rien et a confié ses travaux à quelqu'un d'autres; ce qui a rajouté à l'insatisfaction grandissante des 2 ménages; rapidement, les interdictions |restrictions de voir ou garder les petits-enfants ont débuté pour s'intensifier tout l'automne;
  3. emprunt d'argent : de plus, afin de soutenir leur projet d'affaires, au fil des semaines et des mois, la belle-mère a consenti à prêter dessommes d'argent au couple via sa carte de crédit rénovations; somme qui totalisait 5 788,15$ au 27 avril 2020;
  4. Ajustement annuel des coûts d'électricité: Facture Hydro QUébec au 17 juin 2020, surplus annoncé de 3 211,70$. La propriétaire estime juste de partager la facture (40%|soussol + 40%|rez-de-chaussée + 20%|serre. Le couple prétend que c'est la mauvaise qualité de l'isolement de la maison qui a engendré une telle surcharge; que la serre, par leurs mesures d'économie d'énergie, ne justifie pas un tel coût; aux dernières discussion, Noémi a consenti à reconnaitre 50% du coût sans pouvoir l'acquitter pour le moment.
  5. exclusivité de la cour:
  6. dégradation des rapports familiaux (isolement)


  1. le 25 mai, elle a signalé la violence du père à la DPJ; le dossier a été retenu, le couple, sous enquête, a été forcé récemment de se séparer sous peine de



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