« PIF » : différence entre les versions

Dernière version du 23 août 2020 à 01:08

                         POUR ÉVALUATION PSYCHO-SOCIALE

Problématiques

Gendre hargneux, 40 ans, asperger pas élevé,enfant de la DPJ (carences affectives +++), présente des traits du pervers narcissique (contrôle la maison, violente psychologiquement femmes, enfants et belle-mère en faisant régner un régime de tensions, de méfiances, paranoïa, de dénigrement et d'accusations mensongères).
Fille schizo passive (35 ans), TPL, en amour avec son conjoint-bourreau, considère qu'il est la meilleure chose qu'il lui soit arrivé dans la vie et que leurs engueulades un peu intenses sont acceptables; qu'il faut savoir encaisser;
2 enfants (2 ans, 5 ans) qui vivent dans la crainte des éclats du père; grandissent sans faire de bruit (ou, après accumulation, dans des explosions d'énergies hystériques)
Belle-mère (64 ans) TPL, habite au sous-sol, entend tout, enfermée de peur chez elle, sans accès à ses petits-enfants, rez-de-chaussée et jardin; depuis 1 an, elle est témoin impuissante de tous les sévices psychologiques de fille et petits-enfants; subit des sévices elle-même (agressions verbales, intimidation, menaces, accusations, calomnies)

Situation familiale toxique

La proximité des 2 familles attise les problèmes qui vont en escaladant depuis 1 an. La pandémie vient en rajouter une couche en fermant la Régie du logement (décret ministériel) et interdisant toute éviction de famille jusqu'à nouvel ordre.

La belle-mère, qui est le témoin impuissant de toutes les crises, les abus, les maltraitances psychologiques faites en haut, devant la perspective de traverser une autre année ainsi, refuse de se taire plus longtemps. Récemment, elle a amorcé trois démarches pour tenter de résoudre le problème: 1- médiation citoyenne (a vis de reprise du logement), médiation familiale (interdiction de voir ses petits-enfants) et signalement à la DPJ (protection des enfants vs maltraitance psychologique).

S'ils doivent continuer à vivre à proximité, chaque adulte devra faire sa part pour collaborer à la résolution des conflits qui empoisonnent leurs rapports familiaux.

Plan d'intervention en cours

Évaluation psycho-sociale de la famille (Mère OK, enfants 0K | Père suscite bcp questions) en cours
Évaluation de la dangerosité immédiate de M. - en cours
Recommandations à remettre au juge (Recommandation du Tribunal de la jeunesse vs Ordre de la cour du Québec afin que M. subisse une évaluation psychiatrique) - en cours d'évaluation

Plan de soins à recommander

Évaluation psychiatrique du père
Mesure d'éloignement temporaire du père
Thérapie - Gestion de la colère, sur l'empathie, la paternité
Soutien psychologique les enfants (abus du père, l'estime, la confiance,
Poursuite d'une démarche thérapeutique pour la mère (abuseurs, emprise du pervers narcissique)
Collaborer à médiation familiale - pour retrouver une paix et des relations affectives saines et épanouissantes
Collaborer à médiation citoyenne - pour renouveller une entente de location long terme

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-== '''P'''lan '''I'''ntervention '''F'''amille ==
+                          '''POUR ÉVALUATION PSYCHO-SOCIALE'''
- Problématiques
-- gendre malin, asperger qui sait pas vivre, veut contrôler la maison, violente femmes, enfants et belle-mère en faisant régner un régime de terreur, de suspucion et d'exclusion.
-- fille schizo passive, à la merci d'un conjoint violent psychologiquement, manque de force pour s'en aller
-- 2 enfants (2 ans, 5 ans) qui grandissent dans la crainte des éclats du père; grandissent sans faire de bruit (ou dans des explosions d'énergies hystériques)
-- belle-mère au sous-sol, entend tout, enfermée de peur chez elle, sans accès à sa cour ni accèsà ses petits-enfants;
-Situation familiale toxique.  Comme belle-mère, j'ai perdu mes droits de visite des enfants, comme propriétaire j'ai perdu mes droits d'accès au rez-de-chaussée et à ma cour.
+== Problématiques ==
+#Gendre hargneux, 40 ans, asperger pas élevé,enfant de la DPJ (carences affectives +++), présente des traits du pervers narcissique (contrôle la maison, violente psychologiquement femmes, enfants et belle-mère en faisant régner un régime de tensions, de méfiances, paranoïa, de dénigrement et d'accusations mensongères).
+#Fille schizo passive (35 ans), TPL, en amour avec son conjoint-bourreau, considère qu'il est la meilleure chose qu'il lui soit arrivé dans la vie et que leurs engueulades ''un peu intenses'' sont acceptables; qu'il faut savoir encaisser;
+#2 enfants (2 ans, 5 ans) qui vivent dans la crainte des éclats du père; grandissent sans faire de bruit (ou, après accumulation, dans des explosions d'énergies hystériques)
+#Belle-mère (64 ans) TPL, habite au sous-sol, '''entend tout''', enfermée de peur chez elle, sans accès à ses petits-enfants, rez-de-chaussée et jardin; depuis 1 an, elle est témoin impuissante de tous les sévices psychologiques de fille et petits-enfants; subit des sévices elle-même (agressions verbales, intimidation, menaces, accusations, calomnies)
-=='''Mesures pour redonner la vocation communautaire'''==
+== Situation familiale toxique ==
-#Non-reconduction du bail au 30 juin 2020 et expulsion de JF
+La proximité des 2 familles attise les problèmes qui vont en escaladant depuis 1 an.  La pandémie vient en rajouter une couche en fermant la Régie du logement (décret ministériel) et interdisant toute éviction de famille jusqu'à nouvel ordre.
-#Remise à l'état des lieux (ménage de la maison, démontage de la serre, remplissage du trou et ramassage des tops de cigarettes dans l'entrée et sur le terrain, disposer de vos vidanges)
-#1er juillet, reprise de possession du rez-de-chaussée et début des rénovations (refaire le bain, réouvrir l'escalier)
+La belle-mère, qui est le témoin impuissant de toutes les crises, les abus, les maltraitances ''psychologiques'' faites en haut, devant la perspective de traverser une autre année ainsi, refuse de se taire plus longtemps.  Récemment, elle a amorcé trois démarches pour tenter de résoudre le problème:  1- médiation citoyenne (a vis de reprise du logement), médiation familiale (interdiction de voir ses petits-enfants) et signalement à la DPJ (protection des enfants vs maltraitance psychologique).
-#Reprise d'une vie communautaire sans frontière, dans le respect mutuel, l'affection, la tendresse et le partage des aires communes incluant le terrain, la cour, les entrées
-#Partage des tâches d'entretien des bâtiments et des aires communes, d'aménagement de la maison et du terrain.
+S'ils doivent continuer à vivre à proximité, chaque adulte devra faire sa part pour collaborer à la résolution des conflits qui empoisonnent leurs rapports familiaux.
-#Élaborer un plan d'aménagement de la cour, incluant l'emplacement d'une mini-maison;
+== Plan d'intervention en cours ==
+#Évaluation psycho-sociale de la famille (Mère OK, enfants 0K |   Père suscite bcp questions)  en cours
+#Évaluation de la dangerosité immédiate de M.  - en cours
+#Recommandations à remettre au juge (Recommandation du Tribunal de la jeunesse vs Ordre de la cour du Québec afin que M. subisse une évaluation psychiatrique) -  en cours d'évaluation
+== Plan de soins à recommander ==
+#Évaluation psychiatrique du père
+#Mesure d'éloignement temporaire du père
+#Thérapie - Gestion de la colère, sur l'empathie, la paternité
+#Soutien psychologique les enfants (abus du père, l'estime, la confiance,
+#Poursuite d'une démarche thérapeutique pour la mère (abuseurs, emprise du pervers narcissique)
+#Collaborer à médiation familiale - pour retrouver une paix et des relations affectives saines et épanouissantes
+#Collaborer à médiation citoyenne - pour renouveller une entente de location long terme
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