« Duo de pas de deux » : différence entre les versions

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== '''Scène 1''' : ''Chat en poche'' ==
== '''Scène 1''' : ''Chat en poche'' ==
De Feydeau. Transformation d'un vaudeville en commedia de l'arte, jeu de chaises intégré.
De Feydeau. Transformation d'un vaudeville en commedia de l'arte, jeu de chaises intégré.
Prétexte : excès de civilité, redondance de flatteries, autosatisfaction
PACAREL : en pantalone
DUFAUSSET : en doctore
Chacun des personnages est fourbe, chacun croit berner l'autre et se moque au nez et à la barbe de son interlocuteur.  Les apartes sont des coupures nettes avec le jeu, des brèches pourfendant le 4e mur le temps d'un clin d'oeil, d'un coup de coude, d'une brin de malice. Les deux compères se complaisent comme des larrons chauds.


== '''Scène 2''' :  ''Et si on recommençait'' ==
== '''Scène 2''' :  ''Et si on recommençait'' ==
De Éric-Emmanuel Schmitt.  Éluder le contexte surréaliste, transposer dans l'étrangeté des rapports filiaux au temps de la grande vieillesse.
De Éric-Emmanuel Schmitt.  Éluder le contexte surréaliste, transposer dans l'étrangeté des rapports filiaux au temps de la grande vieillesse.

Version du 7 mars 2017 à 23:23

Proposition de Philippe Leblanc, avec Cathyanne Dufort et Ginette Racine pour CF17fev17

Scène 1 : Chat en poche

De Feydeau. Transformation d'un vaudeville en commedia de l'arte, jeu de chaises intégré.

Prétexte : excès de civilité, redondance de flatteries, autosatisfaction

PACAREL : en pantalone
DUFAUSSET : en doctore

Chacun des personnages est fourbe, chacun croit berner l'autre et se moque au nez et à la barbe de son interlocuteur. Les apartes sont des coupures nettes avec le jeu, des brèches pourfendant le 4e mur le temps d'un clin d'oeil, d'un coup de coude, d'une brin de malice. Les deux compères se complaisent comme des larrons chauds.

Scène 2 : Et si on recommençait

De Éric-Emmanuel Schmitt. Éluder le contexte surréaliste, transposer dans l'étrangeté des rapports filiaux au temps de la grande vieillesse.