POUR ÉVALUATION PSYCHO-SOCIALE

Problématiques

  1. Gendre hargneux, 40 ans, asperger pas élevé,enfant de la DPJ (carences affectives +++), présente des traits du pervers narcissique (contrôle la maison, violente psychologiquement femmes, enfants et belle-mère en faisant régner un régime de tensions, de méfiances, paranoïa, de dénigrement et d'accusations mensongères).
  2. Fille schizo passive (35 ans), TPL, en amour avec son conjoint-bourreau, considère qu'il est la meilleure chose qu'il lui soit arrivé dans la vie et que leurs engueulades un peu intenses sont acceptables; qu'il faut savoir encaisser;
  3. 2 enfants (2 ans, 5 ans) qui vivent dans la crainte des éclats du père; grandissent sans faire de bruit (ou, après accumulation, dans des explosions d'énergies hystériques)
  4. Belle-mère (64 ans) TPL, habite au sous-sol, entend tout, enfermée de peur chez elle, sans accès à ses petits-enfants, rez-de-chaussée et jardin; depuis 1 an, elle est témoin impuissante de tous les sévices psychologiques de fille et petits-enfants; subit des sévices elle-même (agressions verbales, intimidation, menaces, accusations, calomnies)

Situation familiale toxique

La mère, propriétaire d'une maison unifamiliale à St-Gabriel-de-Brandon. Loue le rez-de-chaussée à sa fille et sa famille depuis avril 2019. Le bail n'a jamais été signé mais fait foi d'une entente verbale. La mère souhaite reprendre sa maison le 30 octobre prochain (pour des motifs de santé). La fille et le gendre veulent prendre le temps nécessaire à une transition juste vers un prochain logement; et occuper le logement encore 1 an, peut-être 2 ans afin de se replacer fnancièrement. La mère, témoin impuissante des maltraitantes psychologiques et mentales en haut, à qui ils refusent le droit de voir ses petits enfants, et ne pouvant obtenir de bonne entente au quotidien (plusieurs points de désaccord), maintient sa volonté qu'ils rendent le logement le 30 octobre prochain, ce qu'ils refusent catégoriquement, contestant les motifs de reprise invoquées, l'accusant d'ajouter de la pression, de les harceler,

Mesures pour rétablir liens affectifs avec la grand-mère

OBJECTIFS

  1. Rétablir les droits de visite à volonté, sans supervision ni restriction
  2. Accorder aux enfants la permission de venir manger, dormir, bricoler, se promener, aller au parc et faire le clown avec Grand-Gi de façon spontanée, quotidienne, pour le bonheur et la joie de toute la famille.

MOYENS

  1. SOS - violence conjugale (Demande de références - détresse psychologique des enfants, négligence affective)
  2. Consultation auprès DPJ (demande de soutien psychologique)
  3. Recherche thérapeute spécialiste en médiation familiale

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