Plan Intervention Famille

Problématiques

  1. Gendre hargneux, asperger pas éduqué,enfant de la DPJ (carences affectives +++), présente des traits du pervers narcissique (contrôle la maison, violente psychologiquement femmes, enfants et belle-mère en faisant régner un régime de terreur, de suspicion et de discrimination).
  2. Fille schizo passive, personnalité limite, en amour avec son conjoint-bourreau, considère qu'il est la meilleure chose qu'il lui soit arrivé dans la vie et que leurs engueulades un peu intenses sont acceptables; qu'il faut savoir encaisser;
  3. 2 enfants (2 ans, 5 ans) qui vivent dans la crainte des éclats du père; grandissent sans faire de bruit (ou, après accumulation, dans des explosions d'énergies hystériques)
  4. Belle-mère personnalité limite au sous-sol, entend tout, enfermée de peur chez elle, sans accès à ses petits-enfants, rez-de-chaussée et jardin.

Situation familiale toxique La mère, propriétaire d'une maison unifamiliale à St-Gabriel-de-Brandon. Loue le rez-de-chaussée à sa fille et sa famille depuis avril 2019. Le bail n'a jamais été signé mais fait foi d'une entente verbale. La mère souhaite reprendre sa maison le 30 octobre prochain (pour des motifs de santé). La fille et le gendre veulent prendre le temps nécessaire à une transition juste vers un prochain logement; et occuper le logement encore 1 an, peut-être 2. La mère, témoin impuissante des maltraitantes psychologiques et mentales en haut, qui ne peut voir ses petits enfants, en disgrâce auprès de sa fille, ne pouvant obtenir de bonne entente au quotidien (plusieurs points de désaccord), elle maintient sa conviction que le 30 octobre sera une maudite bonne date pour qu'ils sacrent leur camp.

  • 1e désaccord: consommation électricité (responsabilité partagée équitablement)
  • 2e désaccord: vocation communautaire de la cour (pas de place pour intimité)
  • 3e désaccord: interdiction de socialiser avec les enfants d'aucune façon, sous prétexte illégitime (préceptes religieux, pcq que grand-mère est artiste et clown, jugement adulte questionnable pour préserver la sécurité des enfants)

Conditions de prolongement de location au mois

  1. Non-reconduction du bail au 30 juin 2020; avis de reprise du logement en bonne et due forme
  2. 1er juillet 2020 : Prolongement au mois consenti jusqu'au plus tard le 30 octobre 2020;
  3. Loyer, électricité, chauffage: (mêmes conditions qu'entente verbale 2019-2020), à l'exception de l'hydro dont le partage sera fixé à 40% (sous-sol) | 40% (rez-de-chaussée) | 20% (vertiponic) - ils accepteraient un partage de 50% mais sont dans l'incapacité financière de l'assumer pour le moment;
  4. Usage du jardin communautaire : les 2 ménages doivent s'y croiser en toute liberté et civilité; permission d'agrandir serre accordée avec un rappel que le tout devra être remise à l'état d'origine lors du départ;
  5. Au moment du déménagement, remise à l'état des lieux (ménage de la maison, démontage de la serre, remplissage du trou et ramassage des tops de cigarettes dans l'entrée et sur le terrain, disposer de vos vidanges)

Règles de vie - espaces communautaires

  1. Reprise d'une vie communautaire sans frontière, dans le respect mutuel, l'affection, la tendresse et le partage des aires communes incluant le terrain, le jardin, les entrées;
  2. Partage des tâches d'entretien des bâtiments et des aires communes, d'aménagement de la maison et du terrain.
  3. Règles de vie sur le terrain: humeur joyeuse et courtoise, salutations, bisoux, câlins à volonté, jeux collectifs, activités créatives;
  4. Élaborer un plan d'aménagement de la cour, incluant l'emplacement d'une mini-maison;

Mesures pour rétablir liens affectifs avec la grand-mère

OBJECTIFS

  1. Rétablir les droits de visite à volonté, sans supervision ni restriction
  2. Accorder aux enfants la permission de venir manger, dormir, bricoler, se promener, aller au parc et faire le clown avec Grand-Gi de façon spontanée, quotidienne, pour le bonheur et la joie de toute la famille.

MOYENS

  1. SOS - violence conjugale (Demande de références - détresse psychologique des enfants, négligence affective)
  2. Consultation auprès DPJ (demande de soutien psychologique)
  3. Recherche thérapeute spécialiste en médiation familiale

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